Etats-Unis et Donald Trump : qui est Robert Mercer ?

Intro :

Donald Trump aurait-il pu être président des Etats-Unis élu sans l’aide, les conseils et l’intelligence machiavélique de Robert Mercer, milliardaire beaucoup plus discret et méconnu que l’occupant inattendu de la Maison blanche.

 

Vidéos (reportages, documentaires…) :

  • Comment Trump a manipulé l’Amérique

    Documentaire, 58 min, réalisation : Thomas Huchon (2018)
    Disponible du 11/11/2019 au 09/02/2020
    Avec le scandale Cambridge Analytica, l’opinion publique découvre comment les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs de Facebook ont été recueillies et exploitées par cette société pour faire gagner Donald Trump en 2016. Cette enquête riche en révélations dévoile les dessous de cette affaire, et le rôle méconnu du milliardaire ultraconservateur Robert Mercer.

    C’est en mars 2018 qu’a éclaté le scandale Cambridge Analytica. Plusieurs médias, dont le Guardian, qui avait tenté d’alerter l’opinion avant même la présidentielle américaine, révèlent alors comment les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs de Facebook ont été recueillies et exploitées par cette société pour favoriser Donald Trump. Menée pendant plusieurs mois par le réalisateur Thomas Huchon, cette enquête détaille à la fois la manière dont ces informations ont été utilisées et le rôle méconnu de celui qui a financé et orchestré cette gigantesque manipulation : le milliardaire ultraconservateur Robert Mercer, qui dirige le très performant fonds d’investissement Renaissance Technologies. Celui qui a racheté en 2012 le site d’extrême droite Breitbart News contrôle également la société Cambridge Analytica, et décide d’utiliser les deux pour imposer son agenda politique à la nation tout entière.

    « Faits alternatifs »
    En juillet 2016, après avoir opté pour le candidat Ted Cruz, éliminé lors des primaires, Mercer et sa fille Rebekah proposent à Donald Trump leur aide financière et médiatique, en échange d’une place de premier plan dans l’équipe de campagne pour Steve Bannon, limogé depuis de la Maison-Blanche, et pour Kellyanne Conway, toujours conseillère du président – elle fera sensation dans les premiers jours du mandat en parlant de « faits alternatifs » dans une conférence de presse. Ce documentaire éclaire surtout la nature et l’ampleur des manœuvres orchestrées par Mercer pour faire élire le candidat Trump, grâce notamment à des fake news ciblées et diffusées massivement, qui ont fait basculer le vote de millions de citoyens.
    Source : https://www.arte.tv/fr/videos/082806-000-A/comment-trump-a-manipule-l-amerique/

 

  • Jane Mayer on Robert Mercer & the Dark Money Behind Trump and Bannon

    Democracy Now ! Story, March 23, 2017
    Guests
    Jane Mayer
    staff writer at The New Yorker. Her latest piece is headlined “The Reclusive Hedge-Fund Tycoon Behind the Trump Presidency: How Robert Mercer exploited America’s populist insurgency.” Her book, Dark Money: The Hidden History of the Billionaires Behind the Rise of the Radical Right, has just come out in paperback with a new preface on Trump.

    We look at Robert Mercer, the man who is said to have out-Koched the Koch brothers in the 2016 election. The secretive billionaire hedge-fund tycoon, along with his daughter Rebekah, is credited by many with playing an instrumental role in Donald Trump’s election. “The Mercers laid the groundwork for the Trump revolution,” Trump’s chief strategist Stephen Bannon said. “Irrefutably, when you look at donors during the past four years, they have had the single biggest impact of anybody, including the Kochs.” Before Bannon and Kellyanne Conway joined the Trump campaign, both worked closely with the Mercers. The Mercers bankrolled Bannon’s Breitbart News, as well as some of Bannon’s film projects. Conway ran a super PAC created by the Mercers to initially back the candidacy of Ted Cruz. While the Mercers have helped reshape the American political landscape, their work has all been done from the shadows. To talk more about the Mercers, we speak with Jane Mayer, staff writer at The New Yorker. Her latest piece is headlined “The Reclusive Hedge-Fund Tycoon Behind the Trump Presidency: How Robert Mercer exploited America’s populist insurgency.” She is also author of “Dark Money: The Hidden History of the Billionaires Behind the Rise of the Radical Right,” which just came out in paperback.
    (…)
    Source : https://www.democracynow.org/2017/3/23/jane_mayer_on_robert_mercer_the

 

 

Articles :

  • Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Mercer_(homme_d%27affaires)
  • Hedge fund : passage de témoin à la tête du fonds le plus performant de l’histoire
    Renaissance technologies, le hedge fund le plus performant de l’histoire, organise la transition. Nathaniel Simons, le fils du fondateur du fonds quantitatif, Jim, va devenir président du hedge fund que Wall Street jalouse pour son succès et longévité.
    Par Nessim Aït-Kacimi Publié le 23 janv. 2020 

    Dans la famille Simons, le fils, Nathaniel, 54 ans, prend la tête du hedge fund le plus performant de l’histoire. Il va devenir coprésident de Renaissance Technologies, le fonds créé par son père,  Jim , qui reste  président non exécutif . Nathaniel Simons avait commencé sa carrière dans les années quatre-vingt-dix chez Renaissance dans les statistiques puis comme trader sur les marchés à terme. En 1997, le fonds MeritageGroup sort du giron de Renaissance pour être dirigé par lui. Ce hedge fund gère aujourd’hui une douzaine de milliards de dollars, dont près de la moitié sur les actions. Le gérant a aussi lancé en 2009 un fonds de capital investissement sur les technologies « vertes » au service de l’environnement. Il a co-fondé une fondation sur le climat.Robert Mercer, une des personnes clefs derrière le succès et le développement de Renaissance, faisait figure de favori pour devenir président. Entré dans le hedge fund en 1993,  il a démissionné  de son poste directeur général en 2017. Il a dû céder à la pression d’une partie de l’opinion publique américaine et des investisseurs, qui lui reprochait  ses liens avec Donald Trump , Steve Bannon et son investissement dans Breitbart News.
    (…)Source : https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/hedge-fund-passage-de-temoin-a-la-tete-du-fonds-le-plus-performant-de-lhistoire-1165679

 

  • Des milliardaires américains financent discrètement des campagnes de désinformation en Europe
    Par Damien Leloup, publié le 07 mars 2019 à 06h29 – Mis à jour le 13 mars 2019
    Enquête
    Un petit groupe de très riches américains soutient indirectement plusieurs sites de « réinformation » et de campagnes publicitaires en ligne en Europe.Il n’y a pas que les Etats qui mènent des opérations de désinformation. Depuis plusieurs années, un petit groupe de milliardaires américains, qui financent dans leur pays l’aile droite du Parti républicain, ont aussi soutenu des campagnes de diffusion de fausses informations dans plusieurs pays de l’Union européenne.Contrairement aux agents de l’Internet Research Agency – l’organisation russe de propagande en ligne –, ces hommes d’affaires ne disposent pas d’équipes nombreuses, ni d’armées de faux comptes sur Twitter ou Facebook. Mais leur argent leur permet de financer de petits groupes d’activistes et des entreprises de communication politique spécialisées, dont l’action est ensuite démultipliée en ligne par l’achat de publicités sur les réseaux sociaux pour diffuser leur message.Au cœur du dispositif se trouve notamment Robert Mercer, le codirigeant du puissant fonds d’investissement Renaissance Technologies, et sa fille Rebekah, qui ont financé le lancement de Breitbart News, le site conspirationniste fer de lance de l’« alt-right » (« droite alternative », mouvance d’extrême droite) et de la campagne de Donald Trump. Steve Bannon, l’ancien conseiller du président, en était le rédacteur en chef. « Ce sont les Mercer qui ont posé les bases de la révolution Trump, expliquait M. Bannon en 2018 dans un entretien au Washington Post. Si vous regardez qui sont les donateurs politiques de ces quatre dernières années, ce sont eux qui ont eu le plus grand impact. »

    Vidéos des « gilets jaunes »
    Mais la générosité des Mercer ne s’arrête pas aux frontières des Etats-Unis. Ils financent également l’institut Gatestone, un think tank néoconservateur orienté vers l’Europe, qui publie des articles dans de nombreuses langues, dont le français. Mais aussi le média canadien The Rebel, qui s’intéresse beaucoup à l’actualité du Vieux Continent. En 2017, l’un de ses salariés, Jack Posobiec, avait très largement contribué à la diffusion des « MacronLeaks », ces e-mails vo (…)Source : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/03/07/des-milliardaires-americains-financent-discretement-des-campagnes-de-desinformation-en-europe_5432486_4408996.html

 

  • « Comment Trump a manipulé l’Amérique » : Mercer, l’homme de l’ombre

    Ce milliardaire, redoutable stratège, a compris qu’en prenant possession des données informatiques de millions de personnes, on peut faire basculer le cours d’une élection.
    Par Antoine Flandrin Publié le 09 octobre 2018 à 06h29 – Mis à jour le 09 octobre 2018 à 06h29

Le milliardaire américain Robert Mercer.
Le milliardaire américain Robert Mercer. ANDREW TOTH
Arte, mardi 9 octobre à 20 h 50, documentaire

Qui est Robert Mercer ? Inconnu du grand public, il est pourtant l’un des hommes les plus influents du monde. Redoutable stratège, il a compris qu’en prenant possession des données informatiques de millions de personnes, on peut faire basculer le cours d’une élection.

A bien des égards, le film de Thomas Huchon n’aurait pas dû s’appeler Comment Trump a manipulé l’Amérique, mais Comment Robert Mercer a manipulé l’élection américaine de 2016. Car sa brillante enquête le montre, preuves à l’appui : sans l’aide tactique, financière et médiatique de Mercer, Donald Trump n’aurait pu être élu à la présidence des Etats-Unis.

Les deux hommes ont plusieurs points communs : tous deux sont nés en 1946, ils sont milliardaires et veulent imposer leurs idées ultraconservatrices à la société américaine. Pour le reste, tout les oppose : timide et taiseux, Robert Mercer n’accorde jamais d’entretien à la presse ; exubérant et impulsif, Donald Trump s’exprime sans filtre.
(…)
Source : https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2018/10/09/comment-trump-a-manipule-l-amerique-mercer-l-homme-de-l-ombre_5366602_1655027.html

 

  • « Bienvenue dans l’Etat islamique de France » : un donateur de Trump a financé ces pubs islamophobes

    Robert Mercer aurait donné 2 millions de dollar à Secure America Now, l’organisation à qui l’on doit ces trois vidéos anti-immigration.
    Par L’Obs, Source : https://www.nouvelobs.com/monde/20180405.OBS4716/bienvenue-dans-l-etat-islamique-de-france-un-donateur-de-trump-a-finance-ces-pubs-islamophobes.html

 

 

 

  • La secrète famille Mercer, faiseuse de pluie et de beau temps des républicains

    AFP, publié le C’est un milliardaire reclus ayant fait fortune grâce à des algorithmes compliqués pariant sur ce que d’autres ne voyaient pas. En misant sur Donald Trump, Robert « Bob » Mercer est devenu maître du pouvoir chez les républicains.
    La famille Mercer n’est pas aussi célèbre que les frères Charles et David Koch ou que le magnat des casinos Sheldon Adelson lorsqu’il s’agit de soutenir les causes chères à la droite américaine. Et elle compte bien que ça continue.
    Le patriarche de 71 ans, informaticien chez IBM avant de rejoindre le gestionnaire de fonds spéculatifs Renaissance Technologies, a toujours fui les projecteurs. D’après de nombreux témoignages, il est mal à l’aise en société et intensément réservé.
    Dans son livre polémique « Fire and Fury » publié début janvier, Michael Wolff le décrit comme une personne « presque non verbale, qui vous observe avec un regard inexpressif et qui, soit ne parle pas, soit ne donne qu’une réponse succincte ».
    (…)
    Source : https://www.lepoint.fr/monde/la-secrete-famille-mercer-faiseuse-de-pluie-et-de-beau-temps-des-republicains-16-01-2018-2186950_24.php

 

  • Robert Mercer, l’homme de l’ombre derrière Donald Trump

    Propos recueillis par Romain Rosso, Au fil d’une enquête passionnante, Thomas Huchon explique comment un milliardaire a fait main basse sur la campagne de Donald Trump.
    Dans votre documentaire*, vous décryptez la façon dont la campagne américaine de 2016 a été manipulée…
    En utilisant le mensonge comme une arme politique, Donald Trump a cherché à imposer sa propre vérité contre les médias sérieux. Peu importe, pour lui, que les faits soient vrais ou non; l’essentiel est que les gens adhèrent à ce qu’il affirme. Cette stratégie a été relayée par un site Internet passé maître dans l’art de diffuser des « fake news » (informations bidon), Breitbart News. Lequel est devenu, en peu de temps, la principale source d’information de la droite américaine, passant de 50 millions de visiteurs uniques, en 2016, à plus du double lors des deux derniers mois de campagne.
    (…)
    Source : https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/robert-mercer-l-homme-de-l-ombre-derriere-donald-trump_1936181.html

 

  • Etats-Unis. Dans l’ombre de Donald Trump, la famille Mercer
    , Publié mercredi 15 février 2017
    Robert Mercer et sa fille Rebekah ont été des acteurs-clés dans l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche. Ultra-discrets, proches de Stephen Bannon, ces milliardaires ont notamment financé Breitbart News, fer de lance de l’extrême droite américaine.Robert Mercer est très discret. Discret mais influent. Lors d’une de ses rares apparitions publiques, lui qui rejette les sollicitations des médias et fuit les photographes, il avait déclaré: «Je n’ai pas pour habitude de parler de moi. […] Je pensais que je devais préparer un discours d’une heure, ce qui, en passant, est davantage que ce que j’ai pour habitude de parler en un mois». C’était en juin 2014, à l’occasion d’une remise de prix de l’Association for Computational Linguistics.Inapprochable ou presque, ce milliardaire de 70 ans, mystérieux et secret, qui forme un tandem de choc avec sa fille Rebekah, a pourtant joué un rôle-clé dans l’élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis. En tirant de précieuses ficelles.

    La finance dans le sang
    Ce mathématicien new-yorkais a débuté sa carrière chez IBM, où il a notamment développé un programme de reconnaissance vocale. Il a ensuite fait fortune en co-dirigeant Renaissance Technologies, «un des hedge funds les plus performants et lucratifs de l’histoire», selon Sebastian Mallaby, auteur du livre «More Money Than God». Grâce, notamment, au fonds Medallion, qui représente 5 milliards de dollars sous gestion.Ultra-conservateur et climatosceptique convaincu, l’homme semble s’être donné pour mission de remodeler le Parti républicain, en consolidant son aile la plus à droite, sensible aux discours populistes et anti-establishement. Sa fille Rebekah, 43 ans, poursuit le même but. Trader à Wall Street, elle a aussi géré une boulangerie à Manhattan spécialisée dans les brownies et cookies, «Ruby et Violette», devenue une entreprise online. Epouse d’un banquier français et mère de quatre enfants, elle aide aujourd’hui son père à étendre leur influence à travers des think tanks et médias conservateurs qui épousent leurs thèses.
    Rebekah Mercer, Robert Mercer and Diana Mercer à New York, en avril 2014. Getty Images

    D’abord soutiens actifs du candidat à la présidentielle texan Ted Cruz, un proche du Tea Party – ils auraient injecté treize millions de dollars dans un de ses groupes de soutien –, les Mercer ont ensuite, dès le printemps 2016, appuyé Donald Trump et contribué à sa victoire. En janvier 2016 déjà, Bloomberg qualifiait Robert Mercer de «principal donateur individuel» de l’élection présidentielle. Depuis 2006, il aurait ainsi consacré plus de 34 millions de dollars à des campagnes et le Washington Post le classe, en 2015, parmi les «dix milliardaires les plus influents en politique». Pour la petite histoire, Jim Simon, le fondateur de Renaissance Technologies, était lui l’un des soutiens financiers les plus importants de la démocrate Hillary Clinton.
    (…)
    Source : https://www.letemps.ch/mercer

 

  • Financement politique aux États-Unis, le nouveau Wild West

    Radio-Canada, Mis à jour le Des sugar daddies politiques, des milliardaires qui financent eux-mêmes leur campagne électorale, des publicités payées par de riches donateurs à l’identité secrète, des campagnes aux coûts exponentiels : bienvenue dans le monde du financement électoral américain.
    Un texte de Sophie-Hélène LebeufD’une élection à l’autre, les coûts des campagnes explosent, dépassant chaque fois le record établi à peine quelques années plus tôt.Au total, les élections législatives et présidentielle de 2012 ont coûté près de 8,3 milliards de dollars américains, selon la Federal Election Commission (FEC), l’organe de régulation électoral américain. À en croire certains analystes, la campagne présidentielle en cours pourrait à elle seule engloutir jusqu’à 5, voire 10 milliards de dollars.

    Les longues courses à la direction des partis, qui carburent aux millions de dollars, alimentent ce besoin impératif d’argent. Les échéances électorales poussent également les candidats, particulièrement les aspirants au poste de représentants, élus tous les deux ans, à séduire l’électorat – et les donateurs – quasi perpétuellement.

    Mais il n’y a pas que les politiciens qui font campagne. De richissimes citoyens et des entreprises le font de plus en plus en leur nom.

    « Plusieurs organisations peuvent recueillir et dépenser des montants illimités. Certaines d’entre elles n’ont même pas à divulguer la provenance des dons qu’elles amassent », explique Anthony Corallo, chercheur en gouvernance à la Brookings Institution, une organisation dont le siège est à Washington. Deux problèmes majeurs, selon le politologue, auteur de plusieurs livres sur le financement politique.
    (…)
    Cela explique par exemple que le gestionnaire de fonds spéculatif Robert Mercer puisse injecter 11 millions de dollars dans le super PAC « Keep the Promise I », partisan du républicain Ted Cruz, ou que l’investisseur en capital privé Toby Neugebauer en donne 10 millions à « Keep the Promise II », un autre super PAC en faveur du sénateur du Texas.

    À l’automne 2015, des donateurs du réseau des frères multimilliardaires libertariens Charles et David Koch, une machine militante sans équivalent, avaient déjà donné entre 100 000 $ et 11 millions chacun à des super PAC de candidats républicains. Et ce n’est qu’un début. Car ce réseau de quelque 200 richissimes donateurs qui prônent la réduction de la taille de l’État, le libre marché et les réductions d’impôt projette de verser environ 900 millions de dollars dans la campagne électorale.

    Mais les démocrates ne sont pas en reste.

    Tom Steyer – qui a fait fortune en investissant dans les projets pétroliers avant de devenir un défenseur de la lutte contre les changements climatiques – envisage de dépenser plus en 2016 que les 74 millions qu’il a dépensés pendant le cycle électoral de 2012. Le financier George Soros a quant à lui versé jusqu’ici 8 millions de dollars au super PAC pro-Clinton Priorities USA Action.
    (…)
    Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/762251/campagne-presidentielle-etats-unis-congres-argent-dons

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